Doom Eternal c’était sympa. Ça fifty’était au point d’être certainement le meilleur shooter de la décennie, rien que ça. C’était sympa au signal d’atomiser toutes sortes de concurrence dans le domaine.
Doom Eternal c’était ID Software qui, plutôt que de se reposer sur fifty’splendid Doom 2016, poussait tous les curseurs amenant Doom à un presque betoken de rupture, à la croisée des chemins entre Quake et sa propre mythologie. Un jeu simplement excellent à quelques rares détails près.
Si, à sa sortie donc, psyche étions enchantés par le dernier né des forges texanes – en témoigne le temps déraisonnable englouti dans nos runs successives -, difficile maintenant, près de seven mois plus tard, de garder tout à fait intact notre enthousiasme des débuts.
Git Mor
Déjà, il y a ce qui semble être l’abandon du style invasion au net d’un système de “démons renforcés” finalement très – très – anecdotique. Une absence qui questionne, quand ledit style devait censément arriver dans une mise à jour gratuite peu après la sortie… le xx mars 2020, rappelons-le.
Ajoutons à cela les niveaux maîtres, au nombre très chétif de ii, dont un en bonus de précommande. On se croirait devant la carte du jour de guerre galactique de Mass Effect 3. Où sont les autres niveaux ? Arriveront-ils un jour ?
Le silence radio d’ID et Bethesda est pesant quand il sec’agit de communiquer sur les grandes absences du jeu au lancement. seven mois summation tard, rien ne semble être clairement programmé. Doit-on définitivement se tourner vers la communauté et le modding pour tenir les promesses avortées de ID ?
Si tenir ses promesses, sec’excuser de ne pas les avoir tenues, ou communiquer clairement sur l’avenir de certaines composantes du jeu, ne semblent pas être primordial pour Bethesda, commencer à faire fructifier leur Season Pass semble cela dit, trouver grâce à leurs yeux.
C’est, alors même que les niveaux de base de Doom Eternal semblaient encore pleins de promesses, que Bethesda brain annonçaient la sortie summation ou moins imminente du premier des deux contenus additionnels proposés dans le Season Pass Year One : The Ancient God Part I.
Un nom qui devait mettre les plus attentifs sur la piste : il s’agit d’une première partie. Malgré cet état de fait, on apprend rapidement qu’il sera possible de parcourir cette « nouvelle campagne » en tant que stand lonely au prix de nineteen.99€, soit ⅓ du prix du jeu de base.
Le prix des bonnes choses
Après 50’avoir parcouru de bout en bout iii fois et y avoir donc passé une grosse dizaine d’heures – et bien que cela soit encore trop peu – brain mind risquons à le dire : The Ancient Gods Part I est, concernant sa politique commerciale, un poil audacieux.
The Ancient God Part I n’a rien d’une “nouvelle campagne” et rien non addition d’un stand solitary. Peu importe sa qualité, Bethesda a tout fait pour faire passer son champion plus homérique qu’il ne l’est en réalité.
En tant que stand up lonely, donnant un accès à “l’expérience” Doom Eternal via iii nouveaux niveaux ainsi qu’un accès au multijoueur, son prix a du sens. Sauf que cette tarification est la même pour un joueur possédant déjà le jeu et payant ici “simplement” un complément.
Parce que The Ancient Gods Part I ne fait que surenchérir sur Doom Eternal. Pour qui l’a donc déjà goûté, difficile de voir dans ces trois niveaux et cette moitié d’arc scénaristique, ⅓ de ce que proposait le jeu de base pas summation tard qu’en mars dernier. Surtout que Eternal avait à sa accuse de tout réinventer après 50’épisode de 2016, de développer un tout nouveau jeu en somme.
De la même façon, l’being de The Ancient Gods dans un format stand solitary est une pure aberration.
Stand together
Après une brève cinématique commençant par de ridicules pavés de texte, The Ancient Gods Part I psyche lance directement dans la mêlée. Vous voilà sous une pluie diluvienne d’adversaires. À aucun moment ce contenu est destiné pour de nouveaux arrivants, c’est d’une évidence frappante après à peine quelques secondes de jeu ; le premier fight vous mettant d’entrée face up à pas moins de eleven monstruosités démoniques différentes.
La courbe de difficulté en flèche et la quantité de mécaniques à maîtriser dès le premier affrontement excluent, de facto, les nouveaux venus. Pour bien apprécier The Ancient Gods vous devez not seulement avoir joué au jeu de base, mais également l’avoir compris, au sens mécanique.
The Ancient Gods Part I est un dialogue entre ID et ses joueurs, un jeu de références et de fausses pistes. Un dialogue qui ne peut sec’initier qu’avec un joueur qui comprend quand les règles sont transgressées, pour boy addition M malheur mais également boy plus yard plaisir. À fifty’ikon de ce totem et de ce marauder buffé ; c’est sadique, jubilatoire, les deux à la fois. Jouer à Doom Eternal, c’est bon pour la santé, mais ne mettez pas les pieds dans The Ancient Gods avant d’avoir mis la chief sur 50’expérience de base of operations.
The Ultimate Doom Eternal ?
Pourquoi alors essayer de vendre ça à des joueurs n’ayant pas le jeu de base, si ce n’est pour pénaliser, sur le plan tarifaire, les gens qui semblent pourtant être le cœur de cible de ces nouveaux niveaux, non seulement très durs, mais également sans trop d’enrobage. Le fil rouge est très maigre comparé au jeu de base qui multipliait les contenus pour lier 50’ensemble, notamment via la présence d’un HUB, la forteresse du Slayer.
Or, cette “nouvelle campagne”, alors même qu’elle est censée ouvrir un nouvel arc scénaristique et poser de nouvelles bases, n’en a que faire, passées ses quelques cinématiques.
Bethesda en est pourtant venu à changer la nomenclature de Doom Eternal, pour préciser de quelle campagne il s’agissait, comme si The Ancient Gods allait rivaliser avec Doom Eternal, le vrai. Il n’en est rien. Il ne sec’agit que d’un pack de niveaux destiné aux joueurs les summation acharnés. Une sorte de Ultimate Doom en un peu addition chiche peut-être. The Ancient Gods n’est pas un stand up lone et encore moins un simili “nouveau jeu”, malgré ce que boy prix prohibitif pourrait vous laisser penser.
Un vélo sans selle
Le fait de ne pas avoir construit de nouveau HUB dédié pour accueillir les contenus de ce nouvel arc est d’autant summation étrange qu’une phase entre le niveau one et le niveau 2, mind home justement dans le cuirassé où le Slayer revient entre chaque mission. Tout dans la structure du DLC sec’y prêtait. D’autre office, il est même impossible de rejouer cette “pause” sans relancer la campagne. Pourquoi pas un fellow et nouveau HUB dédié ? Une solution pourtant beaucoup plus élégante que la manipulation actuelle. À ce compte là, pourquoi ne pas avoir intégré un accès à fifty’extension dans le HUB de base of operations ? Non, ici il faut forcément passer par le bill of fare primary.
Pour les cosmétiques – hautement jetables dans leur grande majorité -, c’est presque ridicule de voir que 50’extension est accompagnée d’une dégueulante d’icônes de joueur. On espère que ce n’est pas ce genre de vent qui fait second’envoler le tarif.
Autre surprise, certaines des personnalisations liées au DLC ne semblent pas du tout y correspondre, notamment certaines « entrées en scène”. Pourquoi ces contenus se retrouvent-ils liés à The Ancient Gods, s’ils mettent en exergue des choses du jeu de base of operations ? C’est proprement malhonnête pour les gens qui achètent l’extension, comme pour ceux qui ne 50’achètent pas d’ailleurs.
Dernière aberration, les cosmétiques débloquées dans le pack accompagnant cette extension ne peuvent être équipées qu’avec l’armure dudit pack… Même les quelques autres « swap colour » débloquables dans 50’extension ne sont pas compatibles.
Additionnez à cela les problèmes de finition, notamment dans les collisions, certainement empirés par le nombre croissant d’ennemis, et vous obtenez un DLC à la tarification premium, mais à la finition moindre. Difficile de se défaire dans 50’ensemble de cette impression de service minimum.
Serrer la vis
Côté gameplay, c’est cependant l’occasion pour ID d’ajouter quelques nouveautés et de tenter des rééquilibrages. Déjà, dites bye à votre “Crucible sword” et bonjour aux “Support Runes”.
L’absence de votre joker à la lame affutée vous empêchera dorénavant de filouter vos affrontements en vous obligeant à mener vos combats addition dignement, en summation d’être une bonne excuse pour ressortir votre Unmaykr, peut-être trop injustement mit de côté dans le jeu de base.
Quant à ces nouvelles runes de back up… brain sommes encore dubitatifs. Elles sont au nombre de trois et vous devez en sélectionner une en plus de vos trois runes classiques. Seul souci, les runes de base sont encore addition mal équilibrées à movement des nouvelles orientations et celles ajoutées ne sont pas très engageantes. Il est également très dommageable de constater que leur utilisation reste cantonnée au seul DLC.
Concernant fifty’équilibrage général, brain avons trouvé l’orientation prise plutôt intéressante. L’augmentation drastique du nombre de petits grunts et d’ennemis à bouclier, la présence d’un nouvel ennemi obligeant à l’use du « microwave beam” ainsi que fifty’ajout d’ennemis invisibles ou encore 50’augmentation des apparitions des gros démons, conduits à plusieurs bonnes choses côté armement.
Le way “remote detonate” du lance-roquette est summation mis à l’honneur que dans le jeu de base of operations, les glory kills et autres exécutions à la tronçonneuse sont summation dangereux pour le joueur, le spam de “rut nail” est drastiquement diminué et le “total automobile” est plus efficace encore dans cette nouvelle configuration.
Une journée en enfer
Au rayon des bonnes choses, moins de petites cinématiques viennent interrompre le gameplay et les niveaux sont un peu moins surchargés en secrets. Ils ont tout de même gardé les portes du Slayer et pour ne pas changer, elles sont excellentes.
Côté niveau, même si comme dit addition haut ça ne se bouscule pas au portillon, les trois segments composant ce début d’aventure offrent de nouveaux lieux variés et exotiques, quantités de nouvelles situations, ainsi que des ajouts de gameplay tendant à rendre chacun d’eux unique. Que cela soit des petits twists dans le plateforming, de la flore locale hostile ou des nouveaux venus dans le bestiaire, chaque niveau sait, comme dans fifty’original, multiplier les idées et les arènes qui ne ressemblent pas.
Par exemple, côté bestiaire, 50’ajout des tourelles ; si elles ne sont pas dangereuses en soi, obligent à une gymnastique périlleuse : faire preuve de précision ainsi que de rapidité dans le chaos d’un affrontement. Un ajout délectable et qui n’est heureusement pas le seul.
Malheureusement, et c’était presque couru d’avance, ces nouvelles idées restent pour beaucoup sous-exploitées, surtout côté plateforme où le DLC head a paru beaucoup trop sage.
Doom Eternal, Git Gud
Où les choses commencent à se ternir cela dit, c’est lorsque l’on aborde l’look digestif de l’extension. La faute à un rythme moins maîtrisé que dans la campagne de base of operations, ainsi qu’à des pics de difficulté pas toujours bien sentis dans sa seconde moitié, The Ancient Gods a du mal à ne pas paraître un peu indigeste.
Pour les gens sec’y étant frottés, je pense qu’un affrontement particulier dans les marais devrait immédiatement vous venir à fifty’esprit. Beaucoup trop d’éléments sont introduits en même temps et boy positionnement dans le niveau ne justifie pas une telle difficulté. Rien d’insurmontable – même en nightmare -, mais rien de bien calibré pour autant.
Comme ces arènes qui semblent ne jamais en finir, ces tentacules dont les socles n’est maintenant plus apparents, ou encore ces whiplash devenus entre temps invisibles, The Ancient Gods prend le risque d’être parfois “bêtement” difficile, pas toujours de façon très appropriée.
La réalité du terrain
Dans l’ensemble, ce qui peut finir par transparaître c’est un facial expression brouillon summation prononcé que dans le jeu de base. gold niveau sonore déjà, avec des musiques se détachant trop peu, la faute à un mixage approximatif qui n’aide pas à faire le tri de l’ensemble des informations sonores. Le fait d’avoir augmenté le nombre d’ennemis, en addition de certaines arènes un peu surencombrées, contribue certainement à rendre la piste sonore encore addition confuse. The Ancient God Part I grouille – et peut-être parfois un peu trop.
Et le dernier éléphant dans la pièce, c’est évidemment ce boss last. Son arène qui casse toutes les lignes de vue, qu’elles soient verticales ou horizontales, et qui s’appuie bien trop sur les portails pour sa navigabilité verticale. south’y mouvoir est affreusement pénible, confus, à fifty’icon de ce dernier combat addition éreintant que réellement gratifiant. Et même si fifty’on salue l’idée de proposer un challenge plus corsé que l’Icône du péché : le résultat lui, ne brain a pas convaincu.
Si notre expérience sur Doom Eternal : The Ancient Gods Part I fut somme toute agréable – surtout pour les fanatiques du jeu de base que psyche sommes -, reste cette amertume en bouche quand vient le temps d’en parler. Ne vous y trompez pas, The Ancient Gods Part I, même avec ses ratés, met la misère à une bonne partie de la production vidéoludique actuelle, mais venu le second du bilan et en considérant bien tous ses aspects… c’est bien trop cher pour une expérience si expéditive, à tous les titres. Si vous êtes en manque cela dit, alors craquez, peut-être. Vous savez bien que cette adrénaline là vaut son pesant d’or.
Edit : Si notre greenback d’origine était de six, après y avoir longuement rejoué et terminé plusieurs fois maintenant The Ancient Gods role II, head décidons d’augmenter la Federal Reserve note de cette première partie pour harmoniser la note avec la seconde extension et remettre chacune d’elle justement en perspective.